{{Créé en mars 2008 au Nouveau Théâtre (C.D.N. de Besançon), {We are la France} est accueilli au Théâtre 71, scène nationale de Malakoff, du 22 au 28 septembre 2008, puis du 2 au 8 février 2008.}}
Adaptation
_ {{d'après {Amour, gloire et CAC 40}, {France guide de l'utilisateur} et {Jean de La Ciotat, la légende} de Jean-Charles Massera}}
_ mise en scène
_ {{Benoît Lambert}}
_ Costumes
_ {{Violaine L. Chartier}}
_ Scénographie
_ {{Antoine Franchet}}
_ Images
_ {{Antoine Franchet}}
_ Régie générale
_ {{Marc Chevillon}}
Lire la suite – ‘We are la France’.
Présentation du cycle de journées d’études «Théâtre populaire et représentations du peuple» : «Quand le service public pour la culture s’institutionnalise, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, le mouvement du théâtre populaire, tel qu’il émerge au tournant du XIXe et du XXe siècles, devient le modèle matriciel du théâtre public. Cette référence au théâtre [...] Lire la suite – ‘Les pionniers du théâtre populaire’.
{{Description du spectacle sur le site du Théâtre de la Commune :}} «Anouk Grinberg lit des lettres de Rosa Luxemburg. J’ai choisi de porter sur scène les lettres, très peu connues, que Rosa Luxemburg a écrites à ses amis depuis la prison où elle a été enfermée pour s’être opposée à la guerre de 14-18. [...] Lire la suite – ‘Rosa la Vie’.
{{Créé au Festival d'Avignon en 2007, {Le Silence des communistes} est en tournée à partir de la rentrée 2008.}}
D'après
_ {{Vittorio Foa}}
_ {{Miriam Mafai}}
_ {{Alfredo Reichlin}}
_ Texte français et mise en scène
_ {{Jean-Pierre Vincent}}
_ Dramaturgie
_ {{Bernard Chartreux}}
_ Lumières
_ {{Alain Poisson}}
_ Avec
_ {{Melania Giglio}}
_ {{Jean-Claude Leguay}}
_ {{Charlie Nelson}}
Lire la suite – ‘Le Silence des communistes’.
{{Emmanuel Ethis, Jean-Louis Fabiani, Damien Malinas, {Avignon ou le public participant. Une sociologie du spectateur réinventé}, Vic la Gardiole, Éditions de L’Entretemps, coll. « Champ théâtral », 2008.}}
{{Présentation de l'éditeur:}}
«Jamais l'on n'avait consacré quinze ans d'enquête, quinze ans à un seul et même terrain d'observation pratiqué et porté par trois générations de sociologues autour d'une volonté commune de comprendre ce que sont les "publics du Festival d'Avignon". Nombre d'artistes - metteurs en scène, comédiens ou techniciens - décrivent leur passage par "Avignon" comme une expérience relevant presque d'un rituel professionnel. Nous découvrirons ici qu'il en est de même côté "public"... Faire le Festival d'Avignon relève d'une expérience singulière, idéale et idéalisée dans une carrière de spectateur. Et pour cause, le projet du Festival d'Avignon s'est bâti en affichant une volonté originale dans la manière de "fabriquer" son public. Cette part du contrat pensée en direction du "public" constitue, en effet, un des moteurs de la forme festivalière à l'œuvre. Si l'idéologie qui baignait le développement de la culture d'après-guerre l'espère "populaire", le public, lui, n'a eu de cesse de se réinventer au gré des métamorphoses du Festival. L'objectif de départ d'Avignon, revendiqué comme tel par l'équipe Vilar, fut d'attirer dans l'ancienne cité des Papes des spectateurs écartés jusque-là du théâtre, auxquels il s'agissait de rendre le goût du spectacle vivant et de donner des motifs de curiosité pour l'art dramatique. "Un art collectif comme celui du théâtre ne peut témoigner valablement dans l'unique Paris", déclare Vilar. Il faut à cette fin être en mesure de "réunir, dans les travées de la communion dramatique, le petit boutiquier et le haut magistrat, l'ouvrier et l'agent de change, le facteur des pauvres et le professeur agrégé". C'est ainsi que s'élabore la légende d'Avignon et de son public. En s'évadant des théâtres clos, le théâtre du Festival s'impose comme un fait exemplaire et symbolique de décentralisation culturelle. Construit dans la longue durée, le public d'Avignon est entré dans le XXIe siècle, doté aujourd'hui d'une expertise sans précédent, qui fait de lui, ce public dont Vilar avait rêvé et avec lequel Archambault et Baudriller travaillent désormais : le public participant.»
Lire la suite – ‘Avignon ou le public participant’.
{{Jean-Louis Fabiani, {L'Éducation populaire et le théâtre. Le public d'Avignon en action}, Grenoble, Presses Universitaires de Grenoble, coll. «Art culture publics», 2008.}}
{{Présentation de l'éditeur:}}
«Le livre s’appuie principalement sur l’observation systématique des débats organisés au cours du Festival d’Avignon 2005. L’édition?2005 a été particulièrement agitée?: elle a été marquée par une campagne de dénigrement de la programmation et par une contestation assez forte, émanant d’une partie de la presse, de l’artiste invité Jan Fabre. À Avignon s’est construit, depuis 1947, un mode d’articulation particulier entre culture et politique, entre théâtre et service public. Il existe un pacte fondateur du Festival, et tous les constats portent à croire qu’il n’a pas été profondément modifié au cours du temps.
Le matériau recueilli permet de contribuer à l’analyse des formes publiques d’expression sur la culture, et de mieux connaître ce qu’on peut appeler le public en action, alors que le spectateur est souvent silencieux sur ses pratiques et ses émotions. Il ne s’agit pas de proposer quelque chose comme une théorie générale des formes de participation du public, ni même de tenter une montée en généralité à partir du festival d’Avignon. Simplement, en s’appuyant sur ce qu’il y a de plus solide dans l’analyse monographique, on s’efforce de caractériser les formes de la prise de parole contextualisée à propos des objets culturels.»
[? les premières pages de l'ouvrage->doc121] Lire la suite – ‘L’Éducation populaire et le théâtre’.
{{Descriptif du spectacle :}} «Créé en 2000 par Helgard Haug, Stefan Kaegi et Daniel Wetzel, le collectif Rimini Protokoll propose un théâtre décalé dans lequel les acteurs n’en sont jamais vraiment. Ils investissent les espaces publics où ils introduisent l’acte artistique en contrebande, jusqu’à ce que la frontière entre réel et manipulé disparaisse, et en [...] Lire la suite – ‘Cargo Sofia’.
{{À l'occasion du Festival d'Avignon, la CCAS (Caisse Centrale d'Activités Sociales du personnel des industries électrique et gazière) propose du 11 au 19 juillet sur l'île de la Barthelasse des rencontres autour du spectacle vivant : théâtre, danse, musique...}}
Lire la suite – ‘Festival Contre Courant’.
Rencontre-débat au Théâtre du Vieux Colombier, samedi 14 juin 2008 à 16 h autour de la question «Y a-t-il des pièces dangereuses?».
En présence de Jean-Marie Hordé, directeur du Théâtre de la Bastille, Jean de Saint-Guilhem, directeur du théâtre, de la musique, de la danse et des spectacles de 2006 à 2008 et Béatrice Picon-Vallin, directeur de recherche au CNRS.
Avec la diffusion exclusive d’un entretien avec les animateurs du Théâtre Libre de Minsk.
Débat animé par Joël Huthwohl, conservateur-archiviste de la Comédie-Française, en collaboration avec Laurent Muhleisen, conseiller littéraire de la Comédie-Française. Lire la suite – ‘Y a-t-il des pièces dangereuses ?’.
{{«1968, un événement de paroles. Subjectivité, esthétique, politique» : tel est le titre du colloque international qu'organise l'Université Paul Valéry-Montpellier III du jeudi 25 au dimanche 28 septembre 2008.}}
Lire la suite – ‘1968, un événement de paroles’.