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Événement le 18/05/2013 : Rencontre autour des représentations de la Commune de Paris

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Une guerre qui n’en finit pas – 1914-2008, à l’écran et sur scène
{{Christophe Gauthier, David Lescot et Laurent Véray (dir.), {Une Guerre qui n'en finit pas - 1914-2008, à l'écran et sur scène}, Paris / Toulouse, Éditions Complexe / La Cinémathèque de Toulouse, 2008.}} {{Quatrième de couverture :}} «La Première Guerre mondiale n'a cessé d'être présente dans la société française et, décennie après décennie, cette présence s'est même renforcée. Comment expliquer cet accès de mémoire, alors que le dernier des survivants s'est aujourd'hui éteint. En effet, si films et pièces de théâtre autour du premier conflit mondial ont existé depuis 1914, leur production est de plus en plus abondante. Ces divers types de représentations cherchent, selon les circonstances, à exalter les valeurs patriotiques ou, au contraire, à inspirer le dégoût de la guerre pour l'abolir à jamais. L'obsession de la commémoration de 14-18, c'est-à-dire le souci de transmettre les enseignements du passé aux jeunes générations, n'a jamais fléchi. La Grande Guerre, en France peut-être plus qu'ailleurs, n'a cessé de susciter des images, des films, du théâtre. Une nouvelle série de productions s'est même intensément développée ces dernières années. Comment transposer à l'écran ou sur scène les souffrances et les horreurs engendrées par le conflit ? Comment émerge le genre "film de guerre" ? Existe-t-il des spécificités nationales ? Que disent les films et les pièces qui parlent de la Grande Guerre de la société qui les produit et qui les regarde ? Cet ouvrage est le fruit d'un colloque qui s'est tenu à la Cinémathèque de Toulouse en février 2008 dans le cadre du festival Zoom arrière.» Lire la suite – ‘Une guerre qui n’en finit pas – 1914-2008, à l’écran et sur scène’.
Le Théâtre monte au front
{{Chantal Meyer-Plantureux (dir.), {Le Théâtre monte au front}, Paris, Éditions Complexe, coll. «Le Théâtre en question», 2008.}} {{Quatrième de couverture:}} «Sarah Bernhardt, pourtant invalide, n'a pas hésité à donner plusieurs représentations théâtrales devant des milliers de soldats, regroupés pour voir l'une des grandes vedettes du temps. Moment de détente dans la vie du poilu, mais aussi propagande ou reflet de leur existence difficile, le théâtre joue un rôle important dans la vie du Front pendant la Grande Guerre. Or, il est encore l'un des territoires peu connus de l'histoire culturelle de la Première Guerre mondiale. {Le Théâtre monte au Front} explore les différents visages du répertoire de ce moment crucial : des pièces censurées à celles écrites par les poilus eux-mêmes, du théâtre patriotique au pacifiste, des auteurs de l'arrière aux mises en scène dans les casernes et les campements. Entre "bourrage de crâne" et vision très réaliste donnée par les soldats, le théâtre propose une image fouillée de la guerre et de la façon dont elle a été représentée suivant que l'on soit acteur du conflit ou spectateur. L'ouvrage se compose d'une série d'essais sur la vie théâtrale entre 1914 et 1920, à Paris et au Front, et y adjoint une anthologie d'extraits significatifs d'un répertoire largement inédit ou tombé dans l'oubli. Avec des contributions d'Antoinette Blum, Léonor Delaunay, Amandine Dongois, Odile Krakovitch, Mallory Patte-Serrano, Isabelle Scaviner et Karima Tamarat» Lire la suite – ‘Le Théâtre monte au front’.
Le Théâtre sous la Révolution. Politique du répertoire (1789-1799)
{{ Martial Poirson (dir.), {Le Théâtre sous la Révolution. Politique du répertoire (1789-1799)}, Paris, Desjonquères, coll. «L'esprit des lettres », 2008.}} {{Quatrième de couverture:}} « "Tandis que la tragédie rougissait les rues, la bergerie florissait au théâtre" constatait déjà Chateaubriand. En dépit d'une intense production dramatique pendant la décennie révolutionnaire, acte de naissance d'un véritable théâtre militant, force est d'y constater la prédominance, tous théâtres confondus, des reprises de pièces anciennes et des comédies légères, sentimentales ou fantaisistes. Souvent constaté, rarement analysé, ce phénomène mérite d'être interrogé. Parler de politique du répertoire ne se réduit, ni aux engagements des écrivains dans les conflits de leur temps ; ni à l'instrumentalisation des spectacles et des spectateurs par des politiques culturelles volontaristes mais coercitives ; ni au pouvoir mobilisateur des textes auprès des spectateurs ; ni même aux représentations, littéralement à l'oeuvre dans les pièces, d'une situation sociohistorique donnée. C'est une façon d'interroger l'efficacité performative de l'interaction entre poétique de l'écriture et politique des textes. Cela permet d'abord d'établir un inventaire des auteurs « classiques » les plus joués pendant la Révolution et d'analyser, à partir des manuscrits de souffleur censurés et éditions caviardées, lanature des transformations subies par les textes sous la pression conjointe des stratégies des auteurs, des comédiens, des censeurs révolutionnaires, mais aussi de l'opinion publique, force politique montante. Cela permet aussi de mettre en évidence la façon dont l'Histoire en train de se faire s'inscrit dans les pièces de théâtre, envisagées sous l'angle des créations, mais aussi des reprises, censurées, caviardées et réécrites pour les besoins de la cause. Cela permet enfin d'envisager les nouvelles dramaturgies nées de la conception militante d'un théâtre "école du peuple" (théâtre de propagande, historique, civique, patriotique…) ; mais aussi celles, taxées de "réactionnaires", inspirées par des attitudes de résistance ou de réticence aux idées et idéaux nouveaux (théâtre contre-révolutionnaire, d'émigration, anti-jacobin…) ; enfin celles cherchant dans les paradis artificiels de mondes imaginaires à éviter de prendre trop directement position sur les événements (utopies, uchronies, allégories, fééries…), tout en tenant, par la voie détournée du symbolique, un discours authentiquement politique de transformation des représentations dominantes. Dirigé par Martial Poirson, cet ouvrage collectif en partie issu d'un colloque organisé au Musée de la Révolution française de Vizille et l'UMR LIRE-CNRS réunit des chercheurs en histoire, littérature, esthétique, arts du spectacle, sciences politiques et sciences sociales spécialistes de la période révolutionnaire. » Lire la suite – ‘Le Théâtre sous la Révolution. Politique du répertoire (1789-1799)’.
Théma L’entreprise
{{Consacrant sa programmation au thème de l'entreprise, le Théâtre National de Bruxelles propose un spectacle et deux esquisses : {Unter Eis} écrit et mis en scène par Falk Richter (du 13 au 17 janvier 2009), {Grow or Go} mis en scène par Françoise Bloch (du 14 au 17 janvier 2009) et {SPRL} mis en scène par Jean-Benoît Ugeux (les 16 et 17 janvier 2009).}} Lire la suite – ‘Théma L’entreprise’.
Coriolan
{{Texte}} _ William Shakespeare _ {{Traduction}} _ Jean-Michel Déprats _ {{Mise en scène}} _ Christian Schiaretti _ {{Conseiller dramaturgique}} _ Gérald Garutti _ {{Lumière}} _ Julia Grand _ {{Son}} _ Michel Maurer _ {{Costumes}} _ Thibaut Welchlin _ {{Coiffures et maquillages}} _ Nathalie Charbaut _ {{Directeur des combats}} _ Didier Laval _ {{Assistantes}} _ Laure Charvin-Gautherot, Naïd Azimi _ {{Assistant à la scénographie}} _ Loïc Thiénot _ {{Assistant aux costumes}} _ Jean-Philippe Blanc _ {{Assistants au son}} _ Laurent Dureux, Éric Georges, Olivier Renet, Pierre Sauze Avec Stéphane Bernard, Roland Bertin, Laurence Besson, Pascal Blivet, Olivier Borle, Mohamed Brikat, Jeanne Brouaye, Armand Chagot, Jérémie Chaplain, Philippe Dusigne, Gilles Fisseau, Julien Gauthier, Jacques Giraud, Nicolas Gonzales, Damien Gouy, Sylvain Guichard, Claude Kœner, Aymeric Lecerf, David Mambouch, Clément Morinière, Daniel Pouthier, Loïc Puissant, Jérôme Quintard, Dimitri Rataud, Alain Rimoux, Juliette Rizoud, Julien Tiphaine, Jacques Vadot, Clémentine Verdier, Hélène Vincent, Wladimir Yordanoff techniciens en jeu Louis Carmona, Fabrice Cazanas Lire la suite – ‘Coriolan’.
La fin de la démocratie
{{La fin de la démocratie ?}} Autour de Coriolan (Shakespeare/Schiaretti) _ représenté au Théâtre Nanterre-Amandiers du 21 novembre au 19 décembre 2008 Un contrechamp organisé par le Théâtre National Populaire, _ en partenariat avec l’University of Chicago, _ la Cité Internationale Universitaire de Paris, _ le Théâtre Nanterre-Amandiers et Sciences Po Cycle de débats, conférences, projections et lectures à Paris _ les lundi 8 et mercredi 10 décembre de 14h à 19h30 à la Cité Internationale Universitaire de Paris (Collège Franco-Britannique) _ le samedi 13 décembre de 13h à 18h au Théâtre Nanterre-Amandiers Entrée libre sur réservation obligatoire au 01 46 14 70 10 ou par email à spectateurs@amandiers.com _ Cité Internationale Universitaire de Paris, Collège Franco-Britannique, 9 boulevard Jourdan, 75014 Paris, RER Cité Universitaire _ Théâtre Nanterre-Amandiers, 7 avenue Pablo Picasso, 92000 Nanterre, RER Nanterre-Préfecture Lire la suite – ‘La fin de la démocratie’.
La Jeune Lune tient la vieille lune toute une nuit dans ses bras – Journée d’études (22 novembre 2008)
Journée d’études organisée par le Groupe Théâtres Politiques (EA 3458 « Représentation. Recherches théâtrales et cinématographiques » / Paris 10 Nanterre) Avec le concours du Théâtre de l’Aquarium Le Groupe Théâtres Politiques propose un cycle de journées d’études sur les rapports entre théâtre et monde du travail (XIXe / XXIe). La première de ces journées [...] Lire la suite – ‘La Jeune Lune tient la vieille lune toute une nuit dans ses bras – Journée d’études (22 novembre 2008)’.
Festival Migrant’scène
{{Description du festival sur le site de migrantscene :}} «Quand les États sont en crise, les étrangers, accusés de tous les maux, voient leurs droits restreints, leur dignité remise en cause. Pourtant l’expérience migratoire, à l’intersection de l’intime et du collectif, forge et alimente nos sociétés. Elle est au coeur de ce que nous sommes, [...] Lire la suite – ‘Festival Migrant’scène’.
Look Back At Anger : Agit-Prop Theatre in Britain
{{Swati Pal, {Look Back At Anger : Agit-Prop Theatre in Britain. Red Ladder Theatre Company form the 60s to the 90s}, London, VDM Verlag, 2008.}} {{Quatrième de couverture :}} «2008 marks 40 years of Red Ladder Theatre Company. In 1968, a large number of agit prop theatre companies mushroomed in Britain. The Agit Prop Street Players who later renamed themselves as Red Ladder was one. With time other theatre companies surrendered to and became part of theatre history. Not so Red Ladder. It has survived and it is now time for a reassessment. Is agit prop theatre dead or alive? How does such theatrical practice contribute to society/community? These are only some of the questions the book explores. It looks back at all the anger that led to the emergence of Red Ladder and how it surged ahead as a leading youth theatre company in a multicultural Britain of today. An analysis of the plays of Red Ladder, of their techniques of performance and production, an in-depth study of the changing artistic and other policies of the Company are some of the features of this book. The book's distinctiveness lies in the textual analysis of the plays and the investigative nature of the research undertaken. To anyone interested in theatre history, past and presently in the making, whether as a practitioner or for purely academic purposes, this book will be insightful.» Lire la suite – ‘Look Back At Anger : Agit-Prop Theatre in Britain’.
L’art surpris par le social
{{L'art surpris par le social _ Equipe d'accueil Arts : Pratiques et Poétiques _ 27, 28 & 29 novembre 2008}} {{Amphi A2, bâtiment A sud _ Université Rennes 2, Campus Villejean, Place du Recteur Henri Le Moal, Rennes}} Lire la suite – ‘L’art surpris par le social’.